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Bench Mark. Système de Gestion SST Traditionnel vs. PPAI






Tableau Comparatif : Système de Gestion SST Traditionnel vs. PPAI


Le tableau ci-dessous compare un système de gestion de santé et sécurité au travail (SST) traditionnel, souvent basé sur des outils comme PDF ou SharePoint, avec un système piloté par Prevention Program AI (PPAI), en tenant compte des exigences de la LMRSST et des performances globales en matière de prévention.

Critères

Système SST Traditionnel (PDF/SharePoint)

PPAI (Prevention Program AI)

1. Conformité réglementaire

Manuel : Mise à jour des normes réglementaires via des lectures de documents PDF ou emails CNESST.

Automatisée : Surveillance en temps réel des normes CNESST avec alertes automatiques et intégration rapide.

2. Identification des risques

Statique : Basée sur des listes statiques ou des audits annuels.

Dynamique : Utilise des algorithmes prédictifs (e.g., SVM, RNN) pour identifier les nouveaux risques en temps réel.

3. Analyse des risques

Limitée : Nécessite une intervention humaine pour prioriser les risques.

Automatisée : Algorithmes comme PCA ou Gradient Boosting pour hiérarchiser les risques selon leur gravité et probabilité.

4. Gestion des incidents

Réactive : Enregistrement manuel des incidents et génération de rapports après l’événement.

Proactive : Détection et signalement automatisés des incidents via des capteurs ou rapports numériques.

5. Documentation

Fragmentée : Fichiers dispersés (PDF, SharePoint, Excel), difficilement accessibles pour les travailleurs.

Centralisée : Plateforme interactive permettant un accès simple et rapide aux politiques, rapports, et statistiques SST.

6. Suivi des mesures préventives

Basique : Suivi manuel des échéances et des progrès via des tableaux Excel.

Interactif : Génération automatique de tableaux de bord et d’alertes sur les échéances et mesures en retard.

7. Formation et sensibilisation

Générique : Contenu standardisé souvent peu adapté aux travailleurs spécifiques.

Personnalisée : Programmes adaptés aux profils des travailleurs grâce au NLP et aux recommandations sectorielles.

8. Collaboration interne/externe

Non intégrée : Partage limité via email ou plateformes non connectées.

Interopérable : Partage fluide des données avec les comités SST, la CNESST, et les mutuelles de prévention via des API.

9. Innovation technologique

Faible : Utilisation minimale d'outils numériques ou prédictifs.

Élevée : Intégration d’IA, apprentissage automatique et capteurs IoT pour une prévention proactive.

10. Temps de mise à jour

Long : Prend des jours/semaines pour intégrer une nouvelle norme ou rapport.

Court : Mise à jour quasi immédiate grâce à l'automatisation des flux de travail et de la gestion documentaire.

11. Accessibilité des données

Complexe : Données souvent stockées localement ou sur des serveurs mal organisés.

Facile : Accès en temps réel via une plateforme cloud centralisée, compatible avec divers appareils.

12. Analyse prédictive

Absente : Basée uniquement sur des données historiques.

Active : Algorithmes comme Gradient Boosting et PCA pour prévoir les tendances de risques et incidents futurs.

13. Suivi des audits internes

Statique : Résultats d’audit conservés en fichiers non connectés aux mesures correctives.

Connecté : Résultats d’audit intégrés au système, avec génération automatique de plans d’action.

14. Adaptation sectorielle

Standard : Peu ou pas d’adaptation spécifique au secteur horticole.

Personnalisée : Contenu et analyses sectorielles alignées avec les priorités du secteur horticole (groupes 1, 2, 3 de la LMRSST).

15. Gestion des EPI

Basique : Contrôle manuel des stocks et des distributions.

Automatisée : Gestion des EPI avec alertes sur les ruptures de stock ou les certifications expirées.

16. Engagement des employés

Faible : Participation limitée en raison d’un manque d’interactivité.

Élevé : Plateforme interactive pour signaler les risques, proposer des solutions, et donner du feedback sur les mesures prises.

17. Économies de temps

Temps élevé : Processus manuel pour les rapports, audits et suivi.

Optimisé : Réduction significative du temps grâce à l’automatisation et aux rapports générés automatiquement.

18. Coût de mise en œuvre

Moindre initialement : Outils simples comme PDF ou Excel, mais coûts élevés à long terme en main-d’œuvre.

Investissement initial : Plus coûteux au départ, mais économies à long terme grâce à l’autonomie et l’efficacité du système.

19. Tableau de bord en temps réel

Absent : Rapports générés manuellement, souvent avec retard.

Disponible : Tableau de bord interactif en temps réel avec visualisation des données SST.

20. Alignement avec LMRSST

Partiel : Nécessite des ajustements fréquents manuels pour répondre aux changements réglementaires.

Complet : Surveillance continue des exigences réglementaires et conformité immédiate grâce à des intégrations automatisées.


21 à 40 : Performance dans l’identification et la gestion des risques




Critères

Système Traditionnel

PPAI

21. Délai moyen d’identification des risques

Long, dépendant des audits.

Court grâce à l’analyse prédictive et aux capteurs IoT.

22. Nombre de catégories de risques traitées

Limité aux grandes catégories (chimique, mécanique).

Étendu : couvre des risques émergents (ergonomique, psychosocial).

23. Capacité à traiter les risques complexes

Faible, nécessite des experts.

Élevée, grâce aux algorithmes comme PCA ou Gradient Boosting.

24. Qualité des plans de correction

Standardisés et peu spécifiques.

Hautement personnalisés, basés sur les données en temps réel et les meilleures pratiques sectorielles.

25. Nombre de risques identifiés par unité de travail

Limité à des analyses ponctuelles.

Dynamique, ajusté en temps réel pour chaque poste.

26. Suivi des risques biologiques

Manuel, rarement documenté.

Automatisé : suivi en temps réel des agents pathogènes ou allergies spécifiques.

27. Surveillance des risques émergents

Absente ou très lente.

Présente via IA prédictive, détectant les tendances et anomalies.

28. Mesures de prévention adaptées à chaque risque

Généralement génériques.

Précises et adaptées selon le type de risque et le secteur d'activité.

29. Signalement des risques par les employés

Basé sur des formulaires papier ou électroniques simples.

Plateforme interactive pour signaler facilement les risques, avec suivi en temps réel.

30. Intégration des recommandations CNESST

Manuel et souvent incomplet.

Automatique, avec synthèse des recommandations intégrées dans les mesures préventives.

41 à 60 : Collaboration, communication et suivi

Critères

Système Traditionnel

PPAI

41. Collaboration avec les mutuelles

Limité à des échanges manuels.

Connectivité via API et partage de données en temps réel.

42. Taux de communication interne sur les normes

Faible, souvent via des emails ou affiches.

Élevé : notifications en temps réel via tableau de bord ou applications.

43. Partage des rapports d’audit

Non centralisé, souvent dispersé dans différents fichiers.

Rapports accessibles en un clic, consolidés sur la plateforme.

44. Implication des comités SST

Faible, rapports rarement mis à jour.

Forte, avec des données actualisées automatiquement disponibles pour tous les membres.

45. Accessibilité pour les parties prenantes externes

Limité aux inspections planifiées.

Accès à distance sécurisé pour les autorités, mutuelles, et partenaires.


Critères 61 à 100 : Mesures d’Efficacité, Réduction des Délais et Impact Financier


61 à 80 : Efficacité des Mesures Préventives et Réduction des Accidents




Critères

Système Traditionnel

PPAI

61. Taux de mise en œuvre des mesures préventives

Mise en œuvre lente et incomplète en raison d’un suivi manuel.

Mise en œuvre rapide et exhaustive grâce au suivi automatisé et aux rappels.

62. Pourcentage des mesures préventives respectant les échéances

Fréquemment en retard à cause de la complexité du suivi manuel.

Précision élevée avec rappels automatisés et visualisation des échéances.

63. Nombre d’accidents évités grâce aux mesures préventives

Difficile à quantifier, absence de données consolidées.

Données consolidées permettant de mesurer directement les accidents évités et d’identifier les tendances.

64. Taux de réduction des accidents

Variable et peu mesuré de manière systématique.

Évalué automatiquement grâce à des tableaux de bord intégrant les statistiques avant/après.

65. Analyse de l’efficacité des EPI

Basée sur des retours d’expérience souvent anecdotiques.

Analyse des performances des EPI grâce à des données en temps réel et des audits précis.

66. Ajustement des mesures en fonction des retours terrain

Processus lent basé sur des feedbacks occasionnels.

Ajustements rapides via un système intégré collectant les retours en temps réel.

67. Comparaison inter-établissement (mutuelle)

Impossible ou limité par des outils incompatibles entre entreprises.

Données standardisées et partagées permettant une comparaison simple entre les établissements de la mutuelle.

68. Suivi des mesures à long terme

Rarement effectué, absence de mécanismes pour évaluer la durabilité.

Suivi continu des mesures grâce à des outils analytiques permettant de mesurer leur impact dans le temps.

69. Fréquence des inspections internes et externes

Faible, souvent reportée à cause du temps et des ressources nécessaires.

Augmentation de la fréquence grâce à l’automatisation des rapports et des audits.

70. Détection des risques liés à des changements d’équipement

Rarement anticipée, dépend d’audits ou signalements humains.

Détection proactive des nouveaux risques liés aux changements d’équipements ou processus grâce à l’analyse prédictive.

71. Temps nécessaire pour évaluer une mesure préventive

Élevé, nécessite des analyses manuelles approfondies.

Réduit grâce aux algorithmes d’IA permettant une évaluation rapide et précise.

72. Satisfaction des employés quant aux mesures prises

Faible, les travailleurs ont peu de visibilité sur les actions mises en place.

Haute, grâce à un retour d’information clair et régulier sur les mesures adoptées.

73. Implication des superviseurs dans l’évaluation

Limité par manque d’outils pour coordonner leur participation.

Coordination simplifiée grâce à des outils collaboratifs intégrés.

74. Mesure de l’impact des formations SST

Difficulté à mesurer l’efficacité des formations sur la réduction des risques.

Mesure directe grâce à des évaluations post-formation et l’analyse des performances des travailleurs formés.

75. Adaptation des mesures aux conditions climatiques

Souvent négligée ou mal anticipée (exposition au froid, chaleur, etc.).

Intégration des données climatiques pour ajuster les mesures en fonction des conditions spécifiques.

76. Documentation des risques résiduels

Fréquente absence de documentation claire sur les risques restants.

Documentation automatisée et mise à jour régulièrement pour inclure les risques résiduels.

77. Communication des résultats d’audit aux employés

Faible, généralement limité aux responsables SST.

Résultats communiqués aux employés via des tableaux de bord accessibles.

78. Préparation aux situations d’urgence

Planification occasionnelle ou limitée à des exercices annuels.

Planification continue et tests réguliers basés sur des scénarios simulés via l’IA.

79. Taux de diminution des maladies professionnelles

Peu mesuré ou suivi sporadiquement.

Mesuré de manière continue grâce à l’analyse des tendances et des rapports médicaux consolidés.

80. Capacité à évaluer les risques psychosociaux

Rarement intégré, absence de méthodologies standardisées.

Intégration de données d’enquêtes et d’outils d’analyse pour évaluer les risques psychosociaux (e.g., stress, épuisement).

81 à 100 : Réduction des Délais Administratifs et Impacts Financiers

Critères

Système Traditionnel

PPAI

81. Temps moyen pour générer un rapport réglementaire

Long, parfois plusieurs jours/semaines pour compiler les données.

Immédiat grâce à l’automatisation des rapports et des tableaux de bord.

82. Délai moyen pour répondre à une demande CNESST

Élevé, processus manuel avec recherche dans des fichiers.

Réduit à quelques heures grâce à la centralisation des données et leur accessibilité en temps réel.

83. Temps consacré à la préparation des audits

Élevé, souvent plusieurs jours pour consolider les informations.

Réduit grâce à la génération automatique des données nécessaires.

84. Réduction des coûts liés aux accidents

Difficulté à quantifier, absence de suivi précis.

Données précises sur les coûts évités grâce à la diminution des accidents et maladies professionnelles.

85. Coût annuel des formations SST

Variable, souvent élevé avec des contenus génériques peu efficaces.

Optimisé grâce à des formations ciblées adaptées aux besoins réels.

86. Réduction des coûts d’assurance SST

Faible ou stagnante en raison d’un manque de données probantes.

Réduction notable grâce à des statistiques précises démontrant l’amélioration de la sécurité.

87. Productivité des équipes après la mise en œuvre des mesures préventives

Faible amélioration, souvent non mesurée.

Augmentation mesurable grâce à des indicateurs spécifiques intégrés dans le système.

88. Coût de gestion administrative SST

Élevé à cause de nombreux processus manuels.

Réduit grâce à l’automatisation des tâches administratives (rapports, audits, suivis).

89. Temps nécessaire pour identifier un nouveau risque

Élevé en raison des audits ponctuels.

Immédiat grâce aux outils d’analyse prédictive.

90. Réduction des doublons dans la gestion des données

Problèmes fréquents liés à la duplication des fichiers ou informations.

Éliminés grâce à la centralisation et à l’unicité des données.

91. Impact sur le roulement du personnel (turnover)

Peu mesuré, souvent un indicateur indirect.

Réduction mesurable grâce à des analyses liant satisfaction, sécurité et fidélisation des employés.

92. Taux de retour sur investissement (ROI) des outils SST

Difficile à calculer avec des outils manuels.

Facile à évaluer grâce aux données consolidées et aux indicateurs de performance.

93. Réduction des amendes pour non-conformité

Amendes fréquentes dues à des retards ou erreurs dans la documentation.

Minimisation grâce à la conformité automatique et en temps réel.

94. Coût d’entretien des équipements SST

Variable et rarement optimisé.

Optimisé grâce au suivi en temps réel des équipements et des EPI.

95. Temps d’immobilisation lié à des incidents SST

Élevé, sans analyse précise des causes.

Réduit grâce à la prévention proactive et au suivi des tendances d’incidents.

96. Suivi des dépenses de prévention

Non structuré, absence d’un outil dédié.

Suivi structuré et analytique des budgets alloués à la prévention.

97. Impact financier global des améliorations SST

Peu mesuré ou difficile à justifier.

Justifié par des données quantitatives (réduction des coûts d’accidents, productivité accrue).

98. Temps de détection des écarts réglementaires

Long, souvent identifié lors d’audits externes.

Court grâce à la détection automatique et aux alertes en temps réel.


 

Ajout du cadre réglementaire fédéral dans l’évaluation des programmes de prévention


D'après le Guide du programme de prévention des risques (basé sur la partie XIX du Règlement canadien sur la santé et la sécurité au travail, RCSST), voici comment enrichir les critères de performance (61 à 100) tout en intégrant les exigences fédérales spécifiques pour aligner les évaluations SST sur le cadre réglementaire national.


61 à 80 : Efficacité des Mesures Préventives et Réduction des Accidents (RCSST, Partie XIX)

Critères

Système Traditionnel

PPAI

61. Conformité aux articles 19.3 et 19.4 sur l’évaluation des risques

Analyse manuelle, potentiellement incomplète.

Analyse exhaustive, automatisée via IA, incluant l’évaluation des risques ergonomiques et chimiques.

62. Taux d’application des mesures prévues à l’article 19.5

Variable, mesures parfois non exécutées selon l’ordre de priorité réglementaire.

Respect systématique des priorités : élimination, réduction, protection et gestion administrative des risques.

63. Suivi des registres de risques (article 19.3)

Tenue manuelle et épisodique, dépendant du personnel.

Mise à jour dynamique et continue grâce à une base de données centralisée.

64. Réduction des risques ergonomiques identifiés (article 19.4)

Actions souvent retardées ou limitées par manque d'expertise.

Intégration de solutions ergonomiques basées sur l’IA et la formation dédiée.

65. Impact des formations sur les risques spécifiques (article 19.6)

Formation générique sans suivi des résultats.

Formation personnalisée avec traçabilité complète des résultats et certifications des employés.

66. Temps de réponse aux risques identifiés (article 19.5(4))

Longs délais pour traiter les risques nouvellement recensés.

Réduction drastique des délais grâce aux alertes automatisées et à la priorisation en temps réel.

67. Coordination avec le comité SST local (articles 19.2 et 19.3)

Limité à des réunions planifiées, documentation fragmentée.

Collaboration continue via des outils interactifs permettant un suivi en temps réel des actions et consultations du comité.

68. Fréquence de révision des registres de risques (article 19.3)

Rare, souvent négligée ou non documentée.

Automatisée, avec rappels pour révisions régulières selon l’échéancier défini par la réglementation.

69. Taux de réduction des maladies professionnelles (article 19.4)

Données souvent indisponibles ou non exploitées.

Mesures précises grâce à l’analyse statistique et au suivi des tendances des maladies professionnelles.

70. Suivi de l’entretien préventif (article 19.5(2))

Documentation fragmentaire et dépendant de la disponibilité du personnel.

Suivi automatisé de l’entretien préventif avec alertes pour les inspections obligatoires et l’entretien des équipements critiques.

71. Contrôle des mesures de prévention administratives (article 19.5)

Difficulté à quantifier l’efficacité des ajustements administratifs.

Évaluation en continu grâce à des indicateurs clés de performance intégrés au tableau de bord.

72. Satisfaction des employés concernant les formations SST (19.6)

Peu mesurée, absence de retour structuré.

Suivi systématique de la satisfaction des employés via des enquêtes intégrées dans le système.

73. Taux de conformité aux exigences sur les espaces clos (article 11.2)

Documentation et inspections réalisées manuellement.

Gestion numérique des espaces clos avec enregistrement des inspections et des actions correctives.

74. Gestion des substances dangereuses (article 10.4)

Documentation non systématique des risques liés aux substances dangereuses.

Traçabilité complète avec des solutions centralisées pour identifier, évaluer et atténuer les risques chimiques.

75. Gestion des risques liés au bruit (article 7.3)

Rarement évalués, sauf en cas d’incident ou d’inspection externe.

Mesures proactives basées sur des données collectées et analysées régulièrement.

76. Réduction des délais d’analyse des accidents (articles 19.3 et 19.4)

Dépend d’enquêtes longues et manuelles.

Analyses rapides grâce à l’automatisation des processus et à la centralisation des données d’incidents.

77. Nombre d’audits internes réalisés (article 19.7)

Faible fréquence, souvent considéré comme un fardeau administratif.

Augmentation de la fréquence grâce à la simplicité des outils de suivi et de gestion d’audit.

78. Qualité des rapports d’évaluation (articles 19.7 et 19.8)

Résultats variables, parfois incomplets ou imprécis.

Rapports standardisés et détaillés avec des métriques claires pour mesurer l’efficacité des programmes.

79. Préparation aux inspections fédérales SST

Documentation souvent éparse, nécessitant une organisation préalable importante.

Documentation prête en temps réel, accessible aux inspecteurs et parties prenantes.

80. Taux de modification des mesures après évaluation (article 19.7)

Mesures souvent non ajustées suite à des évaluations d’efficacité.

Ajustements continus grâce à des outils d’analyse en boucle fermée intégrés au processus SST.


81 à 100 : Réduction des Délais Administratifs et Impacts Financiers

Critères

Système Traditionnel

PPAI

81. Temps moyen de mise à jour réglementaire

Long, nécessite une vérification manuelle des modifications.

Mise à jour immédiate grâce aux flux d’informations automatisés des sites réglementaires (ex. CNESST, gouvernement fédéral).

82. Délai moyen pour produire un rapport complet (article 19.8)

Plusieurs jours, consolidation des données manuelle.

Immédiat grâce à la génération automatique des rapports SST selon les exigences du RCSST.

83. Nombre de doublons dans les registres SST

Élevé, absence d’un système unique de gestion des données.

Éliminé grâce à la centralisation et au traitement des données via PPAI.

84. Réduction des coûts d’accidents du travail

Données limitées pour évaluer les économies réalisées.

Suivi précis des coûts évités grâce à des mesures préventives et à la réduction des incidents.

85. Délai moyen pour corriger une non-conformité

Long, dépend de la disponibilité des responsables.

Réduit grâce à des alertes et priorisations automatiques.

86. Temps nécessaire pour planifier les audits SST

Processus manuel prenant souvent plusieurs jours.

Planification automatisée et intégrée, réduisant le temps à quelques heures.

87. Fréquence des sessions de formation obligatoires

Variable et difficile à suivre, particulièrement pour les nouveaux employés.

Calendrier automatisé et suivi de la conformité des formations en temps réel.

88. Coût de formation par employé

Coût plus élevé dû à des contenus non ciblés.

Réduction des coûts grâce à des modules adaptés aux postes de travail et aux risques identifiés.

89. Impact financier des améliorations ergonomiques

Difficile à quantifier, suivi limité.

Justification claire grâce à des métriques financières intégrées (ex. réduction des blessures, des absences et des accidents).

90. Productivité après mise en œuvre des mesures SST

Peu ou pas mesurée.

Mesurée en continu via des tableaux de bord connectant sécurité et performances de l’entreprise.

91. Économies réalisées grâce à la réduction des accidents (articles 19.7 et 19.8)

Suivi inexistant ou approximatif.

Calcul précis des économies grâce à des statistiques consolidées sur les accidents évités et les impacts financiers correspondants.

92. Temps de mise en œuvre d’un nouveau programme SST

Long en raison de la complexité des processus manuels.

Réduit grâce à la configuration et aux modèles personnalisables de PPAI.

93. Suivi des recommandations des inspections externes

Limité et parfois incomplet.

Intégration directe des recommandations dans le système avec suivi automatisé des actions correctives.

94. Réduction des amendes liées à la non-conformité

Coût élevé dû à des lacunes fréquentes en documentation ou suivi.

Réduction drastique grâce à une gestion proactive de la conformité.

95. Durée de préparation aux audits réglementaires

Plusieurs semaines, dépendant de la collecte manuelle des documents.

Réduit à quelques jours grâce à l’accès immédiat à une documentation centralisée et à jour.

96. Réduction des interruptions de production dues aux inspections

Fréquentes interruptions causées par une mauvaise préparation.

Minimisation des interruptions grâce à des audits internes réguliers et à une documentation conforme prête en tout temps.

97. Taux d’élimination des risques recensés (article 19.5)

Faible, dépendant de la priorisation manuelle des risques.

Élevé, grâce à des outils de priorisation automatisée des risques selon leur gravité.

98. Conformité aux obligations d’entretien préventif

Souvent partielle, manque de planification des inspections obligatoires.

Conformité totale grâce à un calendrier automatisé d’entretien des équipements et structures critiques.

99. Temps moyen pour intégrer les changements législatifs

Long, nécessite une coordination manuelle entre services.

Immédiat grâce à l’intégration automatique des flux réglementaires et à l’analyse par IA.

100. Justification des investissements SST auprès de la direction

Difficile à documenter et justifier avec des outils classiques.

Soutenue par des métriques financières claires et des simulations de ROI automatisées dans PPAI.


Résumé


L’intégration du cadre fédéral (articles 19.2 à 19.8 du RCSST) dans PPAI permet une amélioration considérable de la conformité réglementaire, de l’efficacité opérationnelle, et de la réduction des coûts. PPAI se positionne comme un outil incontournable pour optimiser la gestion SST tout en garantissant une conformité constante aux normes fédérales.


 









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